Yué par la Compagnie Maztek et Myriam Soulanges

  • Théâtre de Macouria, Macouria
  • Du 23 mars 2017 au 25 mars 2017
  • Réservations : 0694 22 95 04
    [email protected]
    Ventes et préventes aux librairies La Casa’à bulles
  • Jeudi 23 Mars à 20h et Samedi 25 Mars à 18h
  • 10 € Adultes / 5€ jeunes (-25ans)

JEUDI 23 MARS À 20H
SAMEDI 25 MARS À 18H
Au Théâtre de Macouria

« Yué. Celle qui ne se retourne pas ». C’est la rencontre entre ces trois femmes, engagées chacune dans une démarche artistique singulière. Elles choisissent de collaborer autour de la question de la femme migrante, la femme déportée, la femme déplacée dans l’espace public, contrainte, survie, fuite et/ou déterminisme.

Les difficultés de l’habitat précaire.
Corps menacé, fragilisé,
Corps occupé.
Corps échappé,
chaloupé dans l’espace instable.

Parmi ces femmes migrantes, une diversité de convictions et de confessions, de trajectoires et de choix de vie, en même temps héritières d’une Histoire et d’histoires familiales, et parfaitement unique en tant que femme et personne...
Trio incisif, et facile à transporter, comme une valise d’images à ouvrir et à fermer à n’importe quel moment. Il découle d’une urgence à raconter un monde où les cultures, les identités se juxtaposent, se frottent les unes aux autres avec plus ou moins d’entrelacs et de frictions...
Trois femmes, sur une portion congrue de l’espace, l’avant, l’après et l’ailleurs n’ont aucune importance. Catapultées dans un lieu inconnu et confrontées au fait qu’il n’y a ici manifestement pas assez de place pour elles.



Spectacle de danse
Tout public

CHORÉGRAPHIE
Anne Meyer, Myriam Soulanges

TEXTES
Nefta Poetry

INTERPRÈTES
Myriam Soulanges, Nefta Poetry, Anne Meyer

PRODUCTION
Cies Maztek et Myriam Soulanges

COPRODUCTION
EPCC Les trois fleuves

SOUTIENS
DAC Guyane, DAC Guadeloupe, Région Guadeloupe, Collectivité Territoriale de Guyane, FEAC, CDC Touka Danses, Centre Sonis, Scène nationale De l’Artchipel, Mémorial Acte

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Trois femmes, sur une portion congrue de l’espace, l’avant, l’après et l’ailleurs n’ont aucune importance. Catapultées dans un lieu inconnu et confrontées au fait qu’il n’y a ici manifestement pas assez de place pour elles.